Chapitre IV
Qu’est-ce que la réincarnation ?
Quand Paris-Match posa la question à un prêtre théologien catholique, le père François Brune (qui croit très sérieusement aux phénomènes de l’au-delà pour avoir étudie de près l’évolution de ces phénomènes métaphysiques), il répondit ceci : " Je crois que la réincarnation existe, mais seulement dans certains cas exceptionnels. Si j’en crois certains témoignages, il s’agit d’un phénomène infiniment plus compliqué que ce que l’on croit habituellement... "
- Chose pour laquelle nous sommes tout à fait d’accord avec lui…
Tentons d’introduire une notion plus complexe, mais qui répond à l’interrogation fondamentale de l’homme dans le cadre de la structure triangulaire (corps biologique/énergie/empreinte) que nous venons de définir pour situer le phénomène dit de réincarnation . Selon les entités qui acceptent de nous enseigner (et de nous renseigner ) depuis l’au-delà, la réincarnation représente pour l’être humain un dérivatif à sa peur de la mort, lui permettant d’espérer en une seconde, voire en plusieurs chances de revêtir de nouveau un aspect humain. Il se sécurise dans son espoir de revenir goûter à nouveau les plaisirs éphémères de sa matérialité. Par ailleurs, cette notion, définie dans le cadre de religion codifiée, permet de faire accepter par l’individu un sort difficile à vivre, grâce à la promesse aléatoire d’un retour terrestre dans de meilleures conditions. Pour les autorités religieuses et politiques de certains pays comme les Indes, la réincarnation s’assimile plus à un moyen de contraindre à l’acceptation de son sort (voir le nombre important de castes, ou d'échelons, auxquels sont relégués ou catalogués les êtres humains), qu’à une réalité vécue ou ressentie.
Dans le cadre de l’enseignement qu’elles nous apportent, nos entités ont tenté de nous inculquer une notion plus nuancée quant à la réalité de la réincarnation. Pratiquement, nous avons vu que le corps biologique, c’est à dire l’enveloppe sensorielle qui nous fait matière, ne subsistait pas après la mort. Nous avons vu également que le support fluidique que nous appelons l’empreinte, avec son ensemble de psychengrammes (pensées sentiments etc.), émis par le cerveau et formant le reflet de la personnalité, subsistait définitivement dans l’espace, ou, pourrait t’ont dire encore, " le plasma de l’énergie globale ". Sans cela, tout irait à l’encontre de l’évolution, à l’encontre aussi de lois naturelles de l’univers, lois considérées comme immuable selon nous. La réincarnation est la réutilisation de cette parcelle individuelle de l’énergie universelle par des entités différentes et distinctes les unes aux autres.
Le guide habituel de notre médium affirme veiller sur " sa réincarnation ", qui est celle de notre médium. Soit la même énergie et plan vibratoire qui anima jadis son propre corps humain au temps de son vivant; ce qui veut dire, nous le répétons ici encore une fois, que l’énergie qui anime actuellement la vie de Philippe notre médium, animait avant, le corps de son guide quand il vivait sur le plan terrestre, mais les personnages sont bien différents et pas les mêmes du tout, l'esprit de l’un et de l’autre existent séparément et distinctement.
Seule l'énergie vitale procède à son cycle de création qui engendre et engendrera encore plusieurs vies humaines pendant son existence dans l'espace.
Nous venons de parler de " plans vibratoires ", nous savons tous aujourd’hui que cela ne représente qu’une énergie organisée sous une ou plusieurs formes atomiques structurées, et qui dit formes dit forcément matière, plan terrestre tridimensionnel que nous pouvons appeler notre plan de vie…
Cette compatibilité du plan vibratoire, permet et apporte une facilité d’incorporation plus rapide et plus aisée. Au contraire d’autres entités nous disent souvent devoir modifier, intensifier ou réduire leur énergie vibratoire, pour pouvoir s’incorporer dans le corps de Philippe notre médium, d'ou les effets ressenti comme parfois pénibles, de cause à effet sur son corps quand il le récupère. Nous ajouterons encore que la fréquence vibratoire de nos entités (ou empreintes) qui désirent s'incorporer essaient de se mettre en symbiose pour faciliter " leur descente ", bien que le corps récepteur doit être de préférence accordé à celle de l'entité pour éviter que notre médium ne retrouve un corps (son corps) trop " déphasé "par rapport à la normale, ce qui parfois cause temporairement des troubles de comportement inquiétant, que l'expérimentateur/accompagnateur du médium ne doit pas négliger...
Nous comprenons la, ou les réactions, que peuvent susciter les assertions que nous faisons, car tous ceux qui prônent la perpétuité des vies humaines et cycles de réincarnation devront évidemment reconsidérer leur croyance sous un jour nouveau. Dans l’au-delà, nous ne parlons pas de vie biologique matérielle et tridimensionnelle, mais d’une forme d’existence bien réelle qui se manifeste tout aussi réellement par le biais de phénomènes supra normaux ou métaphysiques, que malheureusement tout être humain ne connaîtra pas forcément pendant sa vie. Pour ceux là, on peut comprendre et pardonner qu’ils aient des doutes… Il faut cependant observer, qu’il devient de plus en plus difficile de dire que ces phénomènes n’existent pas. On en parle de plus en plus souvent dans les médias et la demande va chaque fois augmentant auprès des populations qui désirent implicitement s’en instruire.
L'ensemble matière esprit engendre "une identité " pendant le parcours de la vie humaine, et au-delà de cette vie humaine elle devient ce que nous appelons une entité ou une empreinte.
Cette empreinte (d'abord créée par l'énergie vitale, ensuite habitée par une vie spirituelle "force pensée" et constitué d'un corps biologique), est l’esprit/entité désincarné qui subsiste au-delà de la mort corporelle, moment ou l’énergie vitale abandonne son rôle, et se sépare de la masse atomique qui constitue le corps qui a servit de moule, pour engendrer ce que nous sommes supposés devenir dans cette autre existence que nous appelons l’au-delà.
* NB/ sur la réincarnation nous pourrons "écouter " Gustave", avec qui nous avons longuement dialogués sur ce sujet .