Chapitre XIII

 

CONCLUSIONS

ENTRE LA REALITE, LE REVE, ET L'UTOPIE

 

Quant à l'utopie

Utopistes (du grec ou, préfixe privatif et de topos "lieu", signifiant "ce qui n'est d'aucun lieu"), adeptes d'un concept d'une société idéale. Le terme "utopie" fut forgé par Saint Thomas More dans son ouvrage l'Utopie (1516). Dans la société imaginée par Thomas More, la rationalisation et la planification sont poussées à l'extrême. More décrit une société dépourvue des inégalités de statut et d'argent, Aujourd'hui, le concept d'utopie a perdu son caractère totalitaire et sa connotation péjorative. Le besoin d'imaginer de nouvelles perspectives sociales ne relève pas de l'aliénation mais procède d'une conscience réflexive de l'Homme. On peut établir une typologie des utopies rêvées et des utopies réalisées.
Dans les premières figurent les utopies "positives", comme celle de la République de Platon, qui décrit la société idéalisée de Sparte et ses principes dirigistes et ascétiques, ainsi que l'île d'Utopie de More, où on retrouve à la fois l'idéal d'une rationalité sociale absolue et l'éloge de l'esclavage et du colonialisme, qui étaient tous deux largement admis dans la société du XVIe siècle. L'utopie n'a pas nourri le seul royaume des idées. De vraies communautés utopiques ont été fondées tout au long de l'histoire, comme l'attestent les communautés esséniennes, et les kibboutz en Israël.

Parmi des expériences plus anciennes figurent l'état des Incas au Mexique et l'état des jésuites au Paraguay. Dans le premier, on trouvait une société essentiellement hiérarchique, ignorant l'égalité, mais aussi la faim et l'abandon des vieillards, reposant aussi sur un mépris complet de la femme. l'état gérait toutes les situations et un observateur chrétien de l'empire inca, le père José de Acosta, relevait qu'aucune charité n'y était nécessaire car l'état s'occupait de tout.

En créant" l'île imaginaire d'Utopie", Saint Thomas More décrit le fonctionnement d'un état idéal, reposant sur une organisation communautaire qui n'entrave la liberté de personne. Derrière la description d'une société idéale, cette œuvre brève est une vive critique de la société anglaise de son temps, poussant la rationalisation et la planification à l'extrême et s'inspirant des doctrines platoniciennes, l'auteur va jusqu'à proposer la suppression de la propriété privé.

Il a cependant ajouté peu après,

"Je suis donc convaincu que les ressources ne peuvent êtres réparties également et

justement. Que les affaires des hommes ne peuvent êtres heureusement gérées si l'on supprime la propriété privée. Aussi longtemps quelle subsistera, la partie la plus nombreuse et la meilleure de l'humanité portera un lourd et inévitable fardeau de misère et de soucis.

Ce fardeau, je le reconnais, on peut l'alléger dans une faible mesure, mais le supprimer complètement est impossible je vous l'affirme. On limitera, par exemple la surface de la terre, la somme d'argent que chacun pourra posséder, on prendra des mesures pour empêcher le roi d'être trop puissant, ou ses sujets trop superbes. On interdira la brigue, la vénalité des charges, tous fastes dans les fonctions obligatoirement élevées, car autrement l" Je suis bien sûr convaincu que les ressources ne peuvent êtres réparties également et e rang à tenir incitera à s'en procurer les moyens par fraude et extorsion; et des riches seront inévitablement mis à des places qui devraient êtres occupées par des hommes compétents."

Quant aux "rêves"

Qu'adviendrait-il si tous les hommes se trouvaient unis dans leur croyance, sous une même bannière spirituelle universelle? Fort probablement ce serait la fin des guerres, la fin des luttes engendrées par les différences de culture, de religion, de coutumes, de traditions, d'éducation etc. Le monde commencerait son harmonisation humaine, le troisième millénaire n'aurait pas de barrières de communications, et les frontières entres pays s'ouvriraient toutes. Imaginons, pourquoi pas , une seule communauté économique pour tous. Les hommes se verraient satisfait dans leur désir de sécurité, ils obtiendraient l'espoir d'une paix tranquille et sure, ils auraient d'avantages de dispositions pour s'intéresser à s'attarder sur la condition humaine dans son ensemble.

Actuellement dans le monde, les conflits font rage là où souvent l'appartenance religieuse, ethnique, raciste, sert de prétexte pour assouvir des instincts meurtriers. L'homme a-t-il perdu à ce point toute notion de tolérance, de respect d'autrui et de lui-même, pour se livrer à ces barbaries qui sont le quotidien des informations télévisées ?

L'être humain n'est plus respecté comme il se doit, l'intolérance n'est plus supportable, on enregistre une recrudescence de la délinquance comme jamais auparavant dans l'histoire de l'humanité. Il semble que l'homme ait perdu sa voie et qu'il n'ait plus de références sérieuses pour mener sa vie dans le respect des autres.

Les blocs s'affrontent aussi bien sur le terrain politique que religieux.

Des populations entière se vautrent dans le confort de la surconsommation, alors qu'ailleurs, chaque jour, des enfants meurent faute de pouvoir les nourrir...

Dans un siècle ou l'humanité évolue si vite dans la science et les technologies de tout bord, le plus affreux est de constater la régression morale et l'inanité du plus grand nombre qui ne se sent pas concerné.

Si nous regardons le monde dans son ensemble, on constaterait par exemple :

- Qu'en Australie, pays de seulement à peine 20 millions d'habitants et grand comme l'Europe, le moindre fermier possède généralement quelques milliers d'hectares de terre pour seulement quelques individus, le plus souvent incapable de tout exploiter rationnellement, pendant que sur le continent asiatique voisin, des millions d'êtres humains ne pourront jamais rêver d'un tout petit bout de terre pour y édifier ou construire leur logement quand ce n'est pas seulement une simple cabane. Actuellement, seuls les "riches" peuvent espérer aller dans ce pays, pour y êtres facilement acceptés, si les autres n'ont pas d'exceptionnels qualifications.

L'homme un jour, devra être libre de circuler, de travailler, de vivre là où il sait qu'il peut améliorer son sort et la vie de ceux qui en dépendent, et cela ne doit pas se mesurer à l'importance d'un compte en banque.

- En Afrique noire, des millions de kilomètres carrés de bonnes terres pourraient nourrir bien plus que le continent tout entier, ce qui serait évidemment une bonne chose pour tous. Mais où sont les motivations et les moyens? L'égalité des droits et la justice dans ces pays ne dépendent le plus souvent que du bon vouloir des plus riches et très souvent des hauts fonctionnaires les plus corrompus, qui eux, sont sans morale humanitaire aucune. Ceux là s'appliquent à garder un comportement féodal qui protège leurs propres intérêts particuliers. C'est que malheureusement peu de courageux ose remette en question des coutumes et des traditions exercées depuis toujours par les us et coutumes, traditionnellement encore respectés à ce jour.

La non-ingérence dans un état souverain n'est pas bonne à respecter quand un peuple souffre et est affamé par la faute de tels gouvernements. Si la grande majorité d'un peuple souffre de cette cause, il appartient à un organisme international d'intervenir et d'assurer une protection effective et durable, en apportant par la démocratie tout ce qui doit être amélioré pour accomplir positivement leur mission.

A savoir que beaucoup de gouvernements, principalement ceux des pays d'Afrique noire, ne partagent pas comme il se devrait les terres et le sol entre les ressortissants nationaux qui n'ont rien à posséder, à exploiter, à offrir à un système économique qui demande des garanties. Les différentes formes d'esclavagisme subsiste bien plus sous cette forme que n'importe quelle autre. Si tel gouvernement s'attachait à la tâche qui consiste à distribuer des titres fonciers à leurs ressortissants, il pourrait très vite réaliser qu'il participerait immédiatement à son profit moral, et à son évolution vers le progrès économique. Souvent ils ne le savent pas...

- En Amérique latine autant qu'en Asie, la dictatures des gouvernements fait souvent la loi, l'être humain y est traité moins bien qu'une bête destinée à l'abattoir, car on peut le manipuler, le torturer à sa guise, le plus souvent dans une impunité totale.

Domination de l'homme sur l'homme, et de l'argent sur l'homme perverti... L'argent ne doit pas dominer l'homme et ses passions, c'est l'homme qui doit maîtriser ses passions et l'argent. Il serait aisé et facile de faire des tonnes d'ouvrages sur la question, ne serait-ce qu'avec les journaux d'une presse libre traitant de cette question.

Combien de temps devrons nous accepter ce mauvais sort que l'on fait subir à la majorité de l'humanité sans rien faire pour aider à résoudre ces problèmes ?... Combien de temps encore faut-il accepter de voir et d'assister à cette injustice humaine à n'en pas douter.

Le troisième millénaire contribuera t-il à faire voter des lois internationales reconnues obligatoirement par toutes les nations ?

Bien sûr, ventre creux n'a pas d'oreille, difficile d'échapper à ce cercle vicieux du dominant et du dominé... Mais ces gens là ont-ils le choix, peuvent-ils, dans de telles conditions, démocratiquement, choisir qui leur convient ?... ou ont-ils vraiment besoin d'aide ?... Mais qui leur apportera?...

De toutes façon dirons nous, ni les uns ni les autres ne semble concernés, et ne sont en mesure de réagir seuls comme des êtres libres, égaux et indépendants, alors que les droits de l'homme nous à pourtant déjà apporté cette faveur ? cette bénédiction devrions nous dire...

Ceux à qui le libre arbitre respectif se limite à l'intégration forcée dans une société qu'ils n'ont pas forcément choisi, ne peuvent guère se défendre aujourd'hui dans le contexte actuel.

Mais pour les autres, celle dont ils sont issus et dont ils subissent des effets qu'ils ne savent et ne peuvent pas encore dominer; peuvent-ils ressentir cette injustice... et entreprendre de la combattre ?

Quant à la réalité

Faisant ce tour d'horizon pessimiste, (sauf certaines religions qui s'y emploient) l'humanité semble manquer de guides qui martèleront le positivisme et la croyance pour une vie meilleure, mieux partagée, et surtout possible. Il ne manque que le désir , la volonté et la détermination d'y croire et d'agir en conséquence.

Où sont ceux là qui participeront ? Pourtant ils existent vraiment mais ne savent pas leur nombre...

Il faudra définir de nouvelles formes de production, de nouvelles formes de développement, et de nouvelles formes sociaux éducatives.

Si nous voulions entreprendre nos rêves ...

Pour transcender, l'homme à besoin de paix. Pour aspirer à cette paix, il lui est nécessaire de combler des besoins. Celui d'aimer et d'être aimé, d'être compris et reconnu dans son essence d'être humain.

Mais avant cela il doit aussi surmonter la colère, l'intolérance, les épreuves, les déséquilibres, le sectarisme, le fanatisme, l'étroitesse d'esprit, etc.

Pour servir l'humanité de son mieux et pour amener plus de paix dans ce monde changeant, l'homme a besoin de toute sa foi, de toute sa confiance en lui, mais aussi de celle des autres. Il a besoin de se sentir utile à lui-même et aux autres, de travailler, d'apporter sa contribution, d'apporter aussi une part de ses peines et de ses joies pour se sentir vivre pleinement et se sentir reconnu par les siens.

Il a besoin de partager pour offrir un peu de lui et de son cœur. Il a besoin de partager un peu de son labeur, de ses sentiments, de ses émotions, de sa passion... Nous avons tous besoin de partager "quelque chose" pour nous sentir heureux de vivre, heureux d'aimer, heureux d'être aimé.

Si le choix, réellement existant, que l'homme peut faire pour changer son destin, c' est avant tout une question de motivation, de détermination à construire une communauté humaine universelle, il est tout aussi impératif de traduire cet état d'esprit par des actes, des initiatives, des démarches personnelles, pas par des prières passives.

Car s'il n'en est ainsi... Combien resterons pour construire et bâtir cet âge d'or tellement souhaité, tellement attendu? Après que cette apocalypse ait (si elle se doit d'être) servi de leçon ?...

Les survivants voudront-ils encore s'approprier les vestiges qui resteraient ?

La domination de l'homme sur l'homme reprendra-t-elle encore son cours ?

Est-ce là ce que les hommes désireraient continuer à vivre ?

Ceci nous amènerait à évoquer l'urgence d'une prise de conscience. En sauvegardant les autres, nous nous sauvegardons nous-mêmes.

Avant d'être un principe régissant, la solidarité humaine doit être une réalité, en même temps qu'un désir profond d'évoluer vers et pour un monde meilleur.

Chorus n'a pas l'intention, ni surtout la prétention, de se poser en sauveur de l'humanité; mais compte seulement et tout simplement sur les voix (anonymes ou non) qui feront chorus avec cet état d'esprit.

Proposer une alternative dans laquelle tout être humain pourrait se reconnaître et reconnaître l'autre, sans jamais imposer une ligne de pensée dirigiste.

Nos recherches, et en particulier nos dialogues avec les entités, nous ont permis de garder beaucoup d'espoir quant à l'avenir de notre humanité, et surtout d'entrevoir les possibilités d'évolution non seulement individuelles, mais aussi celles propres a satisfaire aux aspirations de tout chercheur.

Dans cet ouvrage, outre la transcription littérale d'un certain nombre d'entretiens avec quelques entités, nous avons livré des pistes dont chacun fera l'usage qui lui semblera être le bon. Avoir été sensibilisé ou se reconnaître un peu au travers de cet ouvrage, n'est pas adhérer à un parti, encore moins à une secte, c'est tout simplement se découvrir un désir de solidarité humaine et d'évolution morale, spirituelle personnelle.

Désirer l'osmose humaine en toute bonne foi, c'est vouloir élever sa voix et son concours vers l'élaboration et la définition d'un objectif, celui de devenir citoyen de l'humanité pour un plus juste équilibre, une plus grande sécurité, une plus grande évolution technologique, qui ne peut et ne veut que faire progresser le confort de vie de tout être humain sous tous ses aspects.

Il se peut que l'on ait été victime de faux enseignements, de fausses croyances théologiques au sujet de l'Univers; mais il est possible de changer ces croyances en se décidant à penser harmonieusement et constructivement.

Toute habitude peut être changée, le temps s'en charge en permanence même si ce temps est parfois bien long pour y arriver. Il est cependant urgent de commencer dès maintenant à faire évoluer cet état d'esprit et laisser derrière nous les craintes, les superstitions, les tabous et les croyances injustement fondées, celles bien sûr qui furent inculquées sous la contrainte ou la pression de ceux qui protégeaient des intérêts ou des convictions qui n'engageaient qu'eux mêmes... inculquées bien souvent pendant l'enfance de ceux qui n'avaient pas encore l'âge de leur libre arbitre.

Sur la terre, des centaines de millions d'hommes sont menés par les tendances, les émotions, la peur, le ressentiment, la cupidité, l'hostilité. Dans notre enfance, nous sommes forcément malléables, impressionnables et sujet aux pensées et au conditionnement de nos parents, de nos éducateurs. A ce moment de notre vie nous ne possédons pas la compréhension ni le raisonnement nécessaire pour rejeter toutes les peurs qui nous sont apprises, mais en tant qu'adultes, nous sommes responsables à notre tour de notre façon d'agir.

Nous rencontrons autour de notre planète, des hommes sans religion qui possèdent la foi et la confiance. Ils sont en paix avec eux-mêmes et avec tout le monde, vivant pleinement leur vie.

Partageons avec les athées leur philosophie humaniste et les théories qui développerons les rapports visant à préserver le bien de tous.

Sachons le bien, cet âge d'or dont l'humanité rêve, il ne peut y avoir que nous vivants qui pouvons en poser la première pierre, ou encore les fondations qui serviront celles de nos enfants et ceux que nous aimons.

L'homme consentira t-il à écouter à écouter la voix du cœur avant celle de la raison, réussira t-il à étouffer ses instincts égoïstes pour aider à accomplir la démarche nécessaire, pour ceux qui "là haut" nous regardent, nous jugent et nous attendent...

Edifice d'humanité, de compréhension, de tolérance, d'acceptation de l'autre, d'efforts, de détermination, de volonté, mais surtout et par-dessus tout de croyance et de foi en soi et en l'homme.

Celui qui devine le reflet de sa pensée la plus intime ne pourra concevoir qu'il en est incapable, et ne pourra pas croire que l'humanité ne se cherche pas une meilleure et plus harmonieuse vie que celle actuelle. Il ne pourra pas croire que l'humanité cherche à se détruire dans l'égoïsme et le refus, la haine et le sang... Il ne manque pas suffisamment d'intelligence à l'homme pour en arriver au point ultime qui le mènerait tout droit à sa perte, mais il doit savoir que le choix est à faire...

De quel côté l'intuitif et l'intelligent se placeront-ils pour assurer la pérennité de leur survie temporelle, et celle (peut-être) plus intéressante, "au delà" de cette vie ?

Il n'y a aucun Dieu exclusif sur la terre pour sauver les hommes, car ces derniers sont seuls maîtres de leur choix et de leur destiné. Seuls pour assumer leur libre arbitre...

Rester neutre et s'abstenir d'écouter l'élan du cœur et de la raison inconsciente, refusant de prendre parti, ne peut venir que de la peur, un manque de maturité. En s'abstenant, il laisse faire, et se rend coupable de ne rien faire pour secourir l'autre, celui, celle qui fait partie de son humanité.

Quand l'homme saura se contenter du nécessaire, et laissera aux autres d'obtenir à sa place ce qui lui est superflu, alors à n'en pas douter son premier pas en avant est véritablement franchi.

Ce que nous recherchons comme message à apporter aux lecteurs, est comprenons nous bien, non pas un enseignement moral de haute volée, mais principalement des arguments qui peuvent aider à conduire vers "le sommet spirituel" si c'est à cela qu'il veut s'ouvrir dans sa quête.

L'intention de Chorus est de partager l'étincelle représentant une part de la vérité qui l'anime. Nous désirons apporter aux âmes et esprits suffisamment sensibles, la prise de conscience de ce qui est, et de ce qui pourrait advenir.

Si cette infime lumière lui apporte au moins une parcelle de ce qu'il quête et recherche, alors cet ouvrage n'aura pas été vain et commencera à exister pour accomplir son œuvre.

Entre la réalité, le rêve et l'utopie, il n'y a pas de choix à faire entre l'un ou l'autre, il faut assurément créer un amalgame, une réalité émergeant des trois premières qui doit se construire démocratiquement entre les hommes sages de notre planète qui aspirent à se donner à leur humanité, en la concevant, en la structurant, en l'élaborant, en la perfectionnant, en la menant sur la voie qui conduiront les hommes à s'aimer et à vivre entre eux.

Bien sûr, ceci sera une réalisation de longue haleine ou le temps ne devra pas compter. Les réalistes devront devenir un peu plus utopistes, et les utopiste devront aussi devenir un peu plus réaliste... Il suffit de le vouloir, d'y penser sereinement, d'y réfléchir assurément, et lentement émergera les solutions que tous attendent sans y croire encore... mais demain ?

 

CONCLUSIONS DE NOS ENTITES SUR CET OUVRAGE

 La dialectique est une bien belle science, et, s’il faut en croire toute l’encre que  "la spiritualité"  a fait couler, quelques générations de philosophes, et autres brûleurs de cru religieux, palabreront à maintes occasions sans toutefois toucher du doigt, ne serait-ce qu’une infinie seconde, la vérité pure, le Grand Tout Universel, le Cosmos dont ils sont issus.

Cet ouvrage n’a pas la prétention d’être une révélation de cette vérité; ni idéologie, ni religion, ni philosophie, pas même ligne de conduite.

Ce qui est proposé n’est qu’un processus de recherche individuelle. Chacun des lecteurs, s’il sait être attentif, et s’il sait être à l’écoute de son univers, découvrira sa vérité; tans pis si elle est trop subjective du moment qu’elle ne sera ni sectaire ni prosélyte.

Peu importe, qu’arrivé au terme de cet ouvrage, vous croyez ou non, qu’au delà de la vie terrestre est une autre forme d’existence, subsistance, ou prolongement d’être humains désincarnés, ou entités dites supérieures.

Mais, en tout cas, si votre recherche personnelle passe d’aventure par un " voyage " dans ce que vous appelez l’au-delà, ces êtres ou entités, en toute probité, vous aideront à franchir ce pas.

La spiritualité est une mer dont l’horizon est la vérité, la foi est ta brise légère qui pousse ton navire. Que la pureté de ton cœur soit la boussole qui te guidera à l’accord suprême de ton être à l’infini. Qu’on l’appelle Dieu, Liberté, ou de tout autre nom, quel que soit le cérémonial dont on l’entoure, la Vérité ne sera jamais que ce qu’elle est : entière et infinie.

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